Númendil Eldacar, son histoire

Númendil Eldacar est né 17 ans avant la chute des dragonniers. Il fut retrouvée à la lisière Est de la forêt du Du Waldenvarden alors qu'il n'était qu'un nouveau né. Le Roi Evandar et sa suite, qui étaient de retour des montagnes des Beors tombèrent avec beaucoup de stupeur sur l'enfant. Choqué qu'un bébé fusse abandonné à un âge aussi précoce, le roi décida de l'emener à Ellesméra avec lui. Beaucoup d'elfe de la cours royal désapprouvait cette décision téméraire mais le souverain n'en tenit pas compte. Croyant tout d'abord que l'enfant était un humain ( reconnaissable grâce au physique), il remarqua que la couleur de ses yeux étaient uniques : d'un rouge vif, presque sanglant. Dès lors Evandar entreprit d'éduquer personnellement l'enfant et n'ayant pas de fils, il décida de l'adopter. Númendil grandit ainsi au sein de la société elfique, apprenant leurs coutumes, leurs savoirs, leurs langues et bien d'autres encores. En grandissant, les elfes se rendirent bien conte que Númendil n'était d'aucune race connue en Alagaesa. A l'âge de treize ans, le jeune homme maîtrisait honorablement l'art de la gramarie, la science du combat et rivalisait avec les meilleurs guerriers de la forêt à l'épée. Malheureusement, la majorité des elfes vouait une certaine empathie à l'égard de Númendil notamment parce que ce dernier avait été adopté et recueilli dans le Duwaldenvarden. Malgré tout, il se fit plusieurs amis fidèles. Númendil développable une psychologie très chaleureuse, il était amical, sympathique et avait un sens de l'humour particulièrement connu. Il aimait la forêt, les elfes qu'il considérait comme sa famille et vouait une loyauté et un amour sans limite pour le Roi Evandar qui l'avait élevé. Beaucoup de magiciens, de sages ou même de dragonniers tentaient de déchiffré ce qu'était Númendil. Il avait les capacité physique et mental des elfes mais sa psychologie se rapprochait de celle des hommes. Ce n'est que lorsque Numendil passait un tournoi d'escrime en publique qu'un sage et ancien dragonnier comprit qui il était. Aussi improbable et fou que cela puisse paraître, Numendil était un membre du légendaire Peuple Gris. Le dragonnier nommé Isildur fit part de ses découverte à Evandar qui fut à la fois surpris et fier de son fils adoptif. A quinze ans, ce dernier entreprit un long voyage en compagnie de deux fidèles amis à travers l'Alagaesa pour parfaire ses connaissances et son expérience du monde extérieur. Ces péripéties durèrent un an, puis il regagna Ellesméra.

Hélas, alors que Numendil fêtait son dix-septième anniversaire, la fin des dragonnier sonna. Les elfes se mobilisèrent sous le commandement d'Evandar (Numendil y compris) et l'armée du beau peuple entrepris d'éliminer Galbatorix ainsi que les treize parjures. Les batailles étaient sanglantes, les dragonniers se faisaient massacrés les uns après les autres tout le long du continent. Numendil s'illumina sur le champ de bataille, brillant aussi bien sur le plan guerrier que tactique. Il sauva la vie d'Evandar à deux reprises. Ses compétences lui valut le grade de commandant de l'armée mais surtout le respect de son peuple qui avait tant douté de lui. A travers la sanglante campagne militaire des elfes, Numendil se lia d'amitié avec un jeune dragonnier talentueux : Brom. Sa dragonne périt lors du siège d'Iliera, bataille au cours de laquelle, Galbatorix se proclama Roi de l'Alagaesa. Les nains décidèrent alors de se retirer dans leurs tunnels pour ne plus jamais revenir. Alors que Numendil avait vingt ans, les elfes sous son commandement ainsi que celui d'Evandar tentèrent un dernier assaut sur les forces de Galbatorix. En vain puisque ce dernier réussit à abattre le Roi des elfes. Le chagrin et la colère de Numendil fut terrible, et il se jura de tout faire pour combattre l'empire. A l'aide de Brom, ils libérèrent des prisonniers, des exilés, des ennemies politiques etc... Les Vardens étaient nés. Déçu par l’attitude des elfes (qui s'étaient cachés), il consacra son temps à harceler le plus possible l'empire ; raid, détournement de marchandise, assassinat des parjurs, récoltes d'informations, destruction de l'infrastructure. Lorsqu'il n'était pas en mission avec Brom, il s'occupait d'organiser et de hiérarchiser les Vardens. Lorsqu'un chef définitif fut nommé, il se consacra à un dernier but : voler les oeufs restants. Après une longue et pénible infiltration, Numendil trouva une faille dans la défense d'Uru'baen. Brom s'occupa alors en compagnie de Jeod de voler les oeufs de dragons.

Le temps passa, et Numendil devint un agent indispensable aux Vardens. Le sang des ses ancêtres lui assuraient une très longue vie. Mais le vent gronde à l'ouest. Des bouleversements se préparent. Les vardens ont quittés leurs cachettes pour rejoindre le Surda. Mené par Naasuada, les rebelles s’apprêtent à mener campagne contre l'empire pour éliminer définitivement le tyran qui sévi depuis un siècle...



Númendil Eldacar est un être d’apparence humaine, il est grand, mince possède une musculature correct. Il se démarque néanmoins de la race humaine par la couleur de ses yeux d'un rouge vif. Son corps est marqué par de nombreuses cicatrices traces de sa vie de guerrier et d'espion. Numendil a de long cheveux noirs qui lui arrivent à l'épaule. Il est souvent vêtu d'une ample cape de voyage noire usée et marqué par le temps. Il possède une longue et fine lame e fabrication elfique ou le bout de l'épée forme une légère courbe. Il a lui même "chanté" son arc. Numendil est doté de capacité physique qui rivalise voir dépasse les meilleurs elfes. Il est agile, souple et ses sens sont très aiguisés. Comme l'histoire de Numendil la décrit, le jeune homme est très sympathique et il se révèle un ami fidèle et loyal. Sa plus grande qualité est sa ténacité, son plus grand défaut est son côté impulsif : il agit d'abord, réfléchi ensuite.